Chant de la désespérance

Dimanche 4 juin 1972. Une femme de 27 ans se transforme en torche vivante sur la Place Vauquelin à Montréal en criant : « Vous avez détruit la beauté du monde ! ». Son nom : Huguette Gaulin.

Luc Plamondon, producteur et parolier, en hommage à la poétesse écrit la chanson : « Ne tuons pas la beauté du monde », chantée notamment par Isabelle Boulay.

https://www.youtube.com/watch?v=R3KP2vxkIrI

Chant de solidarité

Une chorale, Les Enfantastiques chante la planète, la biodiversité et l’écologie en 220 chansons en cinq langues.

Parmi elles, retenons celle qui porte espoir et solidarité.

« Y en a assez pour tout le monde »

Chant d’espoir d’une civilisation « où l’amour coulerait comme l’eau des rivières »

Cette chanson forte écrite il y a plus de 10 ans colle encore plus à la réalité de 2024 à l’heure où on a l’impression que tout s’écroule. Elle espère que la nouvelle civilisation que nous construisons maintenant se fonde sur l’amour qui coule dans les rivières, sur les enfants de lumière qui enterrent la guerre par la paix. Le chœur d’enfants espère que les déserts de sable soient remplacés par la nature luxuriante où les abeilles procurent notre miel.

PEINTURE

« Si la peur existentielle de la menace climatique est de plus en plus répandue, il est primordial de ne pas la minimiser en tant que simple ‘anxiété’ et d’investir pleinement sa dimension politique comme unique remède cohérent. C’est la visée de ce projet artistique, qui est à sa petite échelle un espace de révolte, permettant de dégager parmi les émotions les plus douloureuses une vision réaliste et humaine de ce que doit être la résilience climatique. »

Albert Lalonde, chargé du projet au sein de l’équipe de mobilisation de la Fondation David Suzuki

https://fr.davidsuzuki.org/la-justice-climatique-a-laffiche/